Genre : CALYPOGEIA

Ordre :
Jungermanniales
Groupe des Hépatiques à feuilles



Essai de noms en français :
Calypogée
  
Les espèces suivantes apparaissant en gras et en inversion vidéo si on pointe leur intitulé sont consultables en cliquant dessus
:

   
Autres espèces en France dans le genre CALYPOGEIA, non consultables pour l'instant :

Calypogeia fissa subsp. fissa (L.) Raddi
Calypogeia integristipula Steph.
Calypogeia muelleriana subsp. muelleriana (Schiffn.) Müll.Frib.
Calypogeia neesiana (C.Massal. & Carestia) Müll.Frib.
Calypogeia neesiana subsp. neesiana (C.Massal. & Carestia) Müll.Frib.
Calypogeia sphagnicola (Arnell & J.Perss.) Warnst. & Loeske
Calypogeia suecica (Arnell & J.Perss.) Müll.Frib. 
 


Essai de noms en français :
Calypogée à dents divergentes

Description :

Comme les espèces communes du genre,  les pousses
rampantes de Calypogeia  arguta sont d'un vert plus pâle que la plupart des autres hépatiques à feuilles.
L'espèce est  plus mince (1-2,5 mm de large) que C.
muelleriana ou C. fissa avec une feuille d'environ 1,2 mm de long et 1 mm de largeur.
Calypogeia  arguta se caractérise fortemant par rapport aux autres hépatiques par sa paire de petites dents divergentes au bout de chaque feuille.
Ses feuilles sont souvent  assez espacées le long des pousses et ont tendance à être plus petite vers  la pointe de la pousse,qui se termine souvent par une masse de gemmes très pâles qui attirent l'oeil  dans les coins sombres.

Confusion possible avec :
C. fissa qui a des petites encoches au bout des feuilles, mais  pas de dents divergentes.
Lophocolea bidentata plus grande peut lui ressembler, mais ses  feuilles sont profondément divisées.
 
Habitat :

Une espèce assez commune,
pousse sur des sols acides - en particulier sur les parois verticales ou sur les zones friables sous les surplombs.
 







 


Essai de noms en français :
Calypogée à reflets bleutés

Description :

Le reflet bleuâtre  de C. azurea est visible sur le terrain, mais il ressemble à d'autres espèces du genre
Calypogeia plus communes, parfois ses feuilles émoussées
finissent avec une encoche.
Les pousses ont entre 1,5 à 3,5 mm de large, et les feuilles environ 2 mm.

Confusion possible avec :

C. muelleriana est plus grande et plus opaque.
C. fissa a le bout des feuilles encochées et n'a pas de reflet bleu.

Habitat :

C. azurea
pousse dans des endroits semblables que  C. fissa et C. muelleriana, en évitant les substrats calcaires,











 


Essai de noms en français :
Calypogée terrestre

Description :

La plus fréquente Calypogeia semble-t-il
poussant  appliqués sur un substrat,
avec des pousses 1,5-3,5 mm de largeur, composée de 2 rangées de feuilles qui se chevauchent légèrement.
Celles qui poussent  dans les sphaignes
sont plus éparses, avec des feuilles espacées.
Les feuilles sont légèrement inférieures à 2 mm en dimension. La forme de la feuille est typique du genre, en général plus pointue que dans la plupart des autre espèces du genre.
De nombreuses feuilles se terminent par une entaille peu profonde ou reste entière.

Confusion possible avec :

C. muelleriana posséde des feuilles plus arrondies sans encoche.
C. azurea est similaire en taille, mais possède des cellules huileuses qui entraînent un reflet
bleuâtre.
C. sphagnicola  et C. suecica sont beaucoup pluspetites  (pousses de moins de 1 mm de large) et dans un habitat pluss spécifique
C.  neesiana  est  plus opaque
C. arguta a 2 dents divergentes sur la feuille
Odontoschisma denudatum présente ses feuilles pressées ensemble, plutôt que
aplatie contre le substrat.

Habitat :

Une plante très répandue et souvent abondante qui pousse sur les sols et parois acides, sur  la tourbe, les souches en décomposition, les sphaignes ou dans les molinaies.









 


Essai d'un nom en français :
Calypogée de Müller
Description :

En général moins cette Calypogée est  moins fréquente que les trois autres espèces communes
de Calypogeia, ses besoins en habitat spécifique étant plus exigeants.
Elle essemble  mais dans une végétation plus dense à C. fissa,en plus gris-bleuâtre, aux
feuilles entières largement arrondies et avec des gemmes souvent abondants.
Les pousses sont généralement de 1,5 à 3,5 mm de large avec des feuilles de 2 mm.

Confusion possible avec :

C. fissa  qui à ses feuilles avec une encoche terminale.
C. azurea d'easpect moins dense.

Habitat :

C. muelleriana évite substrats calcaires.
On la trouve le plus souvent sur ​​de la tourbe,
et plus rarement sur les rochers ou sur  l'argile.
Elle pousse dans les forêts, surtout de conifères, dans les tourbières, les marais et les landes, en particulier en montagne.
C. muelleriana évite les endroits très humides où C. fissa peuvent se développer. 









 

Essai de noms en français :
Riccie rapidement fourchue
Description :

Bryophyte caractéristique des bois humides.

Dimensions
relatives de la plante :
assez haute et assez large (10 cm)
longueur des pousses :
 feuilles
des rameaux principaux :  longueur : 2-4 mm
 largeur :1,5 mm
 forme : sommet tronqué et grossièrement tridenté
et représente environ un tiers de la largeur de la base de la feuille.
C'est souvent l'une des premières espèces à attirer l'attention.
 arrondi.

C'est une plante classique des chênaies.
Bazzania trilobata peut être un composante abondante de la couche du sol dans les vallées boisées les plus humides.
Cette espèce peut coloniser aussi les grumes et pousser sur les troncs d'arbres.
Il est rare de la trouver loin de forêt, sauf parfois sur les éboulis ouverts des escarpements rocheux avec suffisamment d'humidité.









 


Essai d'un nom en français :
Calypogée des sphaignes
Description :

Ces deux espèces de petits Calypogeia sont peu susceptibles d'être confondus avec les autres
dans leurs habitats typiques, mais peuvent se produire ensemble dans quelques endroits. Ils diffèrent des
les autres membres du genre à avoir des pousses qui sont généralement moins de 1 mm de large,
même si les deux peuvent être un peu plus grand, et parfois en ayant des feuilles qui pointent jusqu'à
à partir du substrat. En général, C. sphagnicola a des feuilles plus étroites que les autres membres
du genre, et ceux-ci ont tendance à se courber vers le bas à l'extrémité et se terminent souvent par un cran. en
revanche, C. suecica a des feuilles plutôt trapus avec des pointes carrément tronquée. gemmes sont
commune en C. sphagnicola, mais plutôt moins en C. suecica.
Mince plantes de C. fissa (p. 85) peuvent sembler identiques à C. sphagnicola dans le domaine;
en effet, ils peuvent parfois être tracée à travers la sphaigne là où ils sont
attaché à pousses typiques! Confirmation microscopique repose sur l'examen d'huile
corps, devrait donc être fait rapidement après le prélèvement parce qu'ils se désintègrent en séchant.
La même chose est vraie de la petite C. fissa ou C. muelleriana (p. 86) sur les journaux, qui peuvent imiter
C. suecica.
Comme son nom l'indique, C. sphagnicola pousse presque exclusivement sur les sphaignes: à la fois
dans les piscines des tourbières et sur ​​des buttes entre eux. En général, il se trouve à plat sur ​​la surface de
un patch de sphaigne. L'habitat de prédilection de C. suecica pourrit dans les journaux boisée humide
vallées. Billes de conifères sont peut-être colonisé plus souvent que les journaux d'arbres à feuilles caduques.
Il ya aussi deux records de C. suecica sur relativement exposé, récemment brûlées de la tourbe

et représente environ un tiers de la largeur de la base de la feuille.
C'est souvent l'une des premières espèces à attirer l'attention.
 arrondi.

C'est une plante classique des chênaies.
Bazzania trilobata peut être un composante abondante de la couche du sol dans les vallées boisées les plus humides.
Cette espèce peut coloniser aussi les grumes et pousser sur les troncs d'arbres.
Il est rare de la trouver loin de forêt, sauf parfois sur les éboulis ouverts des escarpements rocheux avec suffisamment d'humidité.









 


  Page actualisée le 01/01/2013 - DG